Louis-Ferdinand CÉLINE et son procès devant la Cour de Justice. 1950.
Lettre autographe signée.
Céline, inquiet et préoccupé, prépare son procès en sollicitant l’aide de ses amis.
« J’apprends maintenant qu’il faut que les vrais amis qui me veulent sauver l’os doivent écrire tout de suite en ma faveur et sur le ton lyrique, à M. Drappier, directement, Président de la Cour de Justice. »
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