Paul VERLAINE quémande auprès de son éditeur Léon Vanier. 1894.

« Je n’avais pas le manuscrit à l’encre encore à cette époque au Figaro qui a inséré un conte de moi écrit à ce même Broussais en même temps (1893), L’Obsesseur. »

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Paul VERLAINE (1844.1896)

Lettre autographe signée à son éditeur Léon Vanier.

Deux pages in-12°.

[Paris].  24 septembre 1894

Le poète attend d’être payé de la publication de l’un de ses contes écrit lors d’un séjour à l’hôpital Broussais.

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 « Mon cher Vanier, Je vous assure que le conte en question ne vient pas de chez [Albert] Savine, car je l’avais fait présenter au Figaro qui me l’a rendu sans l’insérer à cause sans doute du titre que j’ai changé dans la copie que vous avez. Je vous l’ai remis à Broussais sans vous demander d’argent parce que je n’avais pas le manuscrit à l’encre encore à cette époque au Figaro qui a inséré un conte de moi écrit à ce même Broussais en même temps (1893), L’Obsesseur. Donc, j’attends de votre bonne foi un peu d’argent. Votre P. Verlaine. »

 

 

 

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