Lettre autographe signée à un cher confrère.
« Votre revue me dit-on, a bien voulu daigner s’occuper de ma déplorable personnalité. »
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Lettre autographe signée à un cher confrère.
« Votre revue me dit-on, a bien voulu daigner s’occuper de ma déplorable personnalité. »
Paterne BERRICHON (1855.1922).
Lettre autographe signée à un cher confrère.
Une demi-page in-8°, slnd.
« Monsieur et cher confrère, Votre revue me dit-on, a bien voulu daigner s’occuper de ma déplorable personnalité : je m’en autorise pour l’envoi du poème inclus. Croyez à ma cordialité sincère. Paterne Berrichon.
Antimilitariste avéré, il fut arrêté à deux reprises pour résistance à agents de la force publique. Poursuivi plusieurs fois en correctionnelle et en conseil de guerre, il alternera séjours hospitaliers et incarcérations.