Lettre autographe signée à un Citoyen.
Une page in-4°. Paris. 3 floréal an 10 (23 avril 1802).
Belle lettre relative à l’éphémère Traité d’Amiens de 1802.
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Lettre autographe signée à un Citoyen.
Une page in-4°. Paris. 3 floréal an 10 (23 avril 1802).
Belle lettre relative à l’éphémère Traité d’Amiens de 1802.
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Joseph BONAPARTE (1768.1844) Roi de Naples, frère aîné de Napoléon.
Lettre autographe signée à un Citoyen.
Une page in-4°. Paris. 3 floréal an 10 (23 avril 1802).
Belle lettre relative à l’éphémère Traité d’Amiens de 1802.
« Citoyen, J’ai reçu avec beaucoup de reconnaissance la lettre que vous avez bien voulu m’adresser au moment de la signature du Traité d’Amiens. Je vous prie de croire à tous les sentiments que vous m’avez inspirés ; agréez-en ici l’hommage sincère. J. Bonaparte.
La paix d’Amiens, est le nom donné à la période de paix qui amorcée avec le Traité d’Amiens signé le 27 mars 1802 entre le Royaume-Uni, d’une part, et la France, l’Espagne et la République Batave, d’autre part.
Les préliminaires de Londres, signés le 1er octobre 1801 entre le représentant de la France, Otto, et celui de la Grande-Bretagne, Hawkesbury, avaient établi les bases d’un accord de paix qui devait recevoir sa forme définitive lors d’un congrès qui se tiendrait à Amiens. Outre les deux puissances concernées, représentées par Joseph Bonaparte, frère aîné du Premier consul, et lord Cornwallis, y participeront les ministres des puissances encore belligérantes, le chevalier d’Azara pour l’Espagne et Schimmelpenninck pour la République batave. Entamées à Paris, dès novembre, avec le ministre anglais, les négociations retiendront les diplomates quatre mois dans la capitale picarde, de décembre 1801 à la fin de mars 1802. La paix d’Amiens ne dure que treize mois et prend fin le 18 mai 1803. C’est la seule période de paix générale en Europe entre les déclarations de guerre à la France à l’automne de 1793 et la première abdication de Napoléon en 1814.
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